Ma Cyberbanque, comparateur de banques en ligne

15 Juin
2010

Ma-cyberbanque est le portail des cyberbanques (Monabanq, ING Direct, Fortuneo, BforBank et Boursorama). Chaque cyberbanque est présentée de manière individuelle, avec les services offerts, les conditions d’acceptation, et les offres bancaires du moment.

Ma-cyberbanque.fr vous propose diverses informations sur des banques en lignes françaises : les offres proposées (assurances vie, courtage en ligne, super livrets), l’actualité des cyberbanques. Cinq banques sont concernées : Monabanq, ING Direct, Fortuneo, BforBank et Boursorama.

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  1. Pour le CEO de BNP Paribas Fortis : « Les entreprises belges sont extrêmement résilientes » – Finance : A l’occasion de la présentation des résultats au premier semestre de BNP Paribas Fortis, son parrain Max Jadot fait le point sur l’état de santé économique du pays. Malgré 18 mois de crise, il ne s’attend pas à un tsunami de faillites. Décontracté et souriant, Max Jadot… En cette rentrée 2021, le patron de BNP Paribas Fortis a même tombé la cravate. Et pour cause. Alors qu’elle avait enregistré l’an dernier un recul de son bénéfice de 23% au premier semestre, la première banque du pays voit aujourd’hui son résultat net bondir de 42%! Un rebond à l’image de la tonicité retrouvée de notre économie. Laquelle devrait, selon Max Jadot, avoir oublié la crise dès le début 2022. Et au final, dit-il, « sans de trop gros drames pour les entreprises ». … Décontracté et souriant, Max Jadot… En cette rentrée 2021, le patron de BNP Paribas Fortis a même tombé la cravate. Et pour cause. Alors qu’elle avait enregistré l’an dernier un recul de son bénéfice de 23% au premier semestre, la première banque du pays voit aujourd’hui son résultat net bondir de 42%! Un rebond à l’image de la tonicité retrouvée de notre économie. Laquelle devrait, selon Max Jadot, avoir oublié la crise dès le début 2022. Et au final, dit-il, « sans de trop gros drames pour les entreprises ». TENDANCES-TENDANCES. Vous venez de publier un bénéfice semestriel de 1 143 milliards d’euros, contre 804 millions de voix sur un an. Qu’est-ce qui explique ce bon premier semestre ? MAX JADOT. Les banques ne sont pas des êtres éthérés qui vivent dans un monde à part. Elles sont complètement intégrées (intégrées) dans l’économie. Bien entendu, certains secteurs comme l’événement ou le tourisme, voire certaines sous-régions spécifiques, encore beaucoup. Mais globalement, l’économie du pays fonctionne bien, ce qui fait que les résultats des banques et de BNP Paribas Fortis sont bons. Il y a une logique immédiate. Vous avez donc été au rendez-vous de la reprise ? Qu’il s’agit du retail, du private banking et de la banque d’affaires, les revenus progressent dans tous les segments d’activité. Ils sont bons également pour nos filiales, comme Arval par exemple. D’un autre côté, le niveau du risque est inférieur à ce qu’il était en plein virus et la maîtrise des coûts nous permet de maintenir une efficacité opérationnelle pratiquement la même que l’an passé, ce qui se traduit par une belle amélioration du coefficient d’exploitation à 57%. Dit autrement, la banque a bien performé dans tous ses métiers et dans tous les son bénéfice. La page de la crise est-elle déjà tournée ? Il ya bien sûr un effet de rattrapage par rapport à 2020 qui, comme on le sait, fut une année très particulière. Mais nous dégageons tout de même 100 millions de plus que sur la même période en 2019 (à l’époque, bénéfice semestriel était de 1,050 milliard, Ndlr). Nous avons donc retrouvé notre niveau pré-covid, comme beaucoup d’entreprises d’ailleurs. Contrairement aux attentes beaucoup plus négatives de certains, vous nous disiez justement exprimer une que l’économie belge retrouverait son niveau d’avant-crise vers la mi-2022. Vos prédictions se révèlent aujourd’hui exactes. A l’époque, c’était mon intuition personnelle. Entre-temps, nous avons développé en collaboration avec l’université de Gand un outil d’anticipation de l’évolution du PIB que nous appelons nowcasting. Sur base de différentes données anonymisées, dont les mouvements sur les comptes de nos clients entreprises (PME, corporate), nous sommes aujourd’hui capables d’encore mieux prédire l’économie, avant même des instances officielles comme la Banque nationale. Plus concrètement ? Tout en restant légèrement positif, la croissance de l’économie belge va s’aplatir pour tourner autour de 1% au troisième trimestre. Et comme je l’ai dit il y a un effectivement, elle retrouvera ensuite son niveau d’avant-crise début de l’année prochaine ( la banque prévoit une croissance de 3% en 2022, Ndlr). .Il ne faut donc pas s’attendre à un tsunami de faillites? Je n’observe pas de tels signaux au sein de nos clients pour le moment. Quand je parle avec eux, ceux-là mêmes qui sont actifs dans les secteurs les plus difficiles, ils sont rentables. La tendance est donc plutôt positive. On le voit dans la confiance des entrepreneurs, dans le marché du travail, dans le comportement des consommateurs, dans les investissements des entreprises. Je reste donc positif: je ne m’attends pas à une vague de faillites. Comment expliquez-vous ce fort rebond des entreprises après un choc qui fut gigantesque ? Les mesures de soutien public ont bien fonctionné : le chômage technique, les moratoires sur les crédits, les rapports de cotisation, etc. D’un côté, les banques ont joué leur rôle. Elles ont continué à soutenir l’économie réelle. Nous finançons chez BNP Paribas Fortis plus de 130 milliards de crédits en Belgique. Tout cela a permis aux entreprises de s’adapter. Pendant un an et demi, elles se sont digitalisées, ont trouvé d’autres marchés, ont adapté leur base de coûts, etc. Beaucoup de résilience, donc… En fait, à chaque crise en Belgique, on se rend compte que les les entreprises belges sont extrêmement résilientes. Elles l’ont prouvé durant la crise des années 1990, après la crise financière de 2008 et plus récemment lors du Brexit. Le fait qu’elles soient peu endettées aide également. Et puis, bien sûr, beaucoup d’indépendants ont pris sur eux au cours des 18 derniers mois, en s’octroyant moins de bénéfices, moins de salaire… Tout n’est pas gagné pour autant. L’économie est à nouveau dans le vert. La tendance est plutôt positive mais pas de manière exubérante comme au cours des derniers mois. Comme je l’ai dit, certains secteurs suivent encore. Par ailleurs, va-t-on vers une quatrième vague ? Je n’ai pas de boule de cristal. Mais nous avons la chance d’avoir un vaccin après un an. La réponse à cette incertitude est donc simple : vacciner, vacciner, vacciner ! En tant que citoyen et PDG, il faut le dire. Y at-il d’autres dangers à plus long terme ? Pour le moment, la demande est là. Mais pas l’offre. Il faudra voir comment ce choc sur la supply chain va évoluer. Est-ce temporaire ou pas, cela va-t-il se traduire dans l’inflation? A nouveau, je n’ai pas de boule de cristal. Mais une série d’éléments positifs vont nous soutenir dans les trimestres à venir. On a beaucoup parlé du covid comme accélérateur de tendance, notamment sur le terrain du digital. Dans quelle mesure est-ce le cas chez vous ? Les chiffres sont assez impressionnants : plus de 2,4 millions de clients utilisent désormais nos canaux numériques et nous enregistrons une croissance chez les plus de 65 ans de 30% sur l’appli bancaire. Nous accélérons également sur le terrain du Beyond banking avec plusieurs développements dans quatre écosystèmes (vivre, mobilité, travail, paiements). Début 2022, nous offrirons par exemple un nouveau service de télésurveillance, Homiris. En matière de mobilité, nos clients bénéficient désormais de l’infrastructure des bornes de recharge électrique du réseau Optimile, dont nous avons récemment augmenté le capital de 8 millions d’euros en partenariat avec Touring et AG Insurance. Le covid vous amène aussi à accélérer dans le private equity et la bancassurance ? Notre activité en matière de private equity n’est pas neuve, elle a toujours existé. Cela fait 40 ans que nous en faisons. Les plus anciens se souviendront de VIV et Synerfi. Mais, effectivement, il y a clairement une accélération liée au covid. Nous souhaitons investir 100 millions de plus par pour arriver à un milliard d’euros d’ici 20. Cela correspond à un besoin d’accompagnement des entreprises dans leur croissance. Et c’est pour la banque une vision stratégique. Et en assurance ? Là aussi, nous souhaitons être encore plus proches des clients. Raison pour laquelle nous lancerons en novembre une nouvelle ligne d’activité de produits d’assurance pour les entrepreneurs. Une équipe de 50 à 70 nouveaux collègues va pousser la distribution de produits développés par notre partenaire AG Insurance. Une vingtaine d’assurances et des packs sur mesure pour des secteurs spécifiques seront ainsi directement mis à disposition des entrepreneurs au travers d’un guichet unique couvrant 85% de leurs besoins (habitation, véhicule, assistance juridique, etc. ). C’est un développement important et stratégique également. Un mot sur les inondations ? Ces événements révèlent une fois encore l’importance du rôle sociétal que nous jouons, tout d’abord par le biais de nos activités mais aussi, et plus largement, en tant qu’acteur clé du tissu économique et social en Belgique. Nous avons rapidement mis en place des solutions spécifiques ainsi qu’une hotline pour aider nos clients sinistrés afin de traiter notamment 5.000 demandes d’indemnisation. Sur le plan interne, j’ai personnellement appelé cinq collègues qui figuraient parmi les plus touchés. Les histoires sont vraiment effrayantes. Quid du télétravail : qu’avez-vous décidé à ce niveau-là ? Des discussions sont en cours à ce sujet avec les syndicats. Depuis le 6 septembre, notre personnel des services centraux prend trois jours de télétravail par semaine. Je suis absolument convaincu de l’importance d’une certaine présence au bureau : pour la formation, pour l’affectio societatis, etc. Votre nouveau siège, à la rue Montagne du parc, ne sera-t-il pas trop grand ? Non, il est entièrement modulable, durable et totalement adapté aux nouvelles façons de travailler. Les premières équipes déménageront mi-novembre. Ce nouveau siège nous permettra de regrouper tous les services localisés à Bruxelles (rue du Marais, immeuble Boréal, etc.). Le regroupement de l’ensemble des équipes à Bruxelles était prévu pour 2025, mais l’opération va maintenant se dérouler plus rapidement, ce qui permettra de faire des économies. En agence, comment s’organise le retour au bureau ? Nous conservons le système de l’ouverture uniquement sur rendez-vous, qui fonctionne très bien, et qui est étendu à l’après-midi. Les clients sont satisfaits. Ils peuvent désormais prendre rendez-vous durant toute la journée – y compris le samedi – et plus uniquement le matin. C’est un modèle de fonctionnement que nous continuons de suivre de près en fonction de la crise sanitaire et des besoins des clients. Pour terminer, allez-vous appliquer un taux d’intérêt négatif sur le compte d’épargne comme le font déjà plusieurs banques en Belgique ? Les taux vont rester bas pendant encore un certain temps. La problématique va rester la même pour les banques. Avec une marge sur les dépôts qui s’effondre depuis deux ou trois ans, il faut maîtriser les nouvelles sources de revenus, maîtriser fortement les coûts et bien gérer les risques. Dans ce contexte, il n’est pas impossible que les gros dépôts voient un jour imposer un taux négatif. Ce que je peux vous dire par contre, c’est que nous ne prévoyons pas de taux d’intérêt négatif pour l’épargnant de base. Cela ne correspond pas à notre rôle dans la société. C’est la liquidité qui a sauvé la banque en 2008, lors de la crise financière. Il ne faut pas l’oublier : c’est une question de respect envers les épargnants. window.fbAsyncInit = function () { // Init the FB JS SDK FB.init({ appId: '144439012322', // App ID from the app dashboard status: true, // Check Facebook Login status xfbml: true // Look for social plugins on the page }); // Additional initialization code such as adding Event Listeners goes here FB.Event.subscribe('edge.create', function (href, widget) { if (href.indexOf('facebook.com') == -1) { headjs.ready("bp_bt", rmgBtTrackerCallBack(1, "fb")) } } ); }; // Load the SDK asynchronously (function () { // If we've already installed the SDK, we're done if (document.getElementById('facebook-jssdk')) { return; } // Get the first script element, which we'll use to find the parent node var firstScriptElement = document.getElementsByTagName('script')[0]; // Create a new script element and set its id var facebookJS = document.createElement('script'); facebookJS.id = 'facebook-jssdk'; // Set the new script's source to the source of the Facebook JS SDK facebookJS.src="http://connect.facebook.net/fr_FR/all.js"; // Insert the Facebook JS SDK into the DOM firstScriptElement.parentNode.insertBefore(facebookJS, firstScriptElement); }()); Source link
  2. Des informations basées sur les données pour créer des communautés connectées : Les informations basées sur les données de Mastercard peuvent aider les parties prenantes locales à créer des communautés à service complet qui répondent aux besoins des résidents. Northampton, MA –News Direct– Le Centre Mastercard pour la croissance inclusive Par Michelle Thompson, Edward Lee et Barbara Ray Publié à l’origine par le Mastercard Center for Inclusive Growth Les côtés ouest et sud de Chicago abritent certaines des familles les plus marginalisées de la ville, mais aussi certaines des communautés les plus profondément enracinées, riches en culture et en histoire. Mais le manque d’investissement dans ces quartiers signifie que les résidents passent une grande partie de leur vie quotidienne dans un bus, un vélo ou une voiture à faire leurs courses, à payer les factures et à récupérer leurs enfants à la garderie, le tout loin de chez eux. Ce qui peut prendre à une famille de la classe moyenne avec deux voitures par heure pour faire quelques courses en prend quatre à une famille à faible revenu. Les coûts sont plus que du temps perdu. Être pauvre coûte cher. Lorsqu’il n’y a pas de services bancaires abordables dans le quartier, les familles ont recours à des options plus coûteuses telles que les services d’encaissement de chèques. Lorsqu’il n’y a pas d’épiceries à service complet, elles doivent payer plus cher pour des aliments moins nutritifs. Lorsqu’il n’y a pas d’accès aux cliniques de santé, les résidents finissent par utiliser la salle d’urgence pour les soins primaires. C’est l’une des raisons pour lesquelles le mouvement 15-Minute City prend racine. Une ville saine, soutiennent les urbanistes, est une ville où les résidents peuvent trouver tout ce dont ils ont besoin à moins de 15 minutes à pied de chez eux. Une nouvelle analyse de données du Mastercard Center for Inclusive Growth indique que les résidents des côtés sud et ouest de Chicago sont loin d’un quartier à 15 minutes. En fait, jusqu’à 86 % des dépenses des résidents sont effectuées en dehors de leur quartier. De meilleurs résultats pour les communautés commencent par des données ponctuelles et localisées Comme nous l’avons appris dans des analyses précédentes pour Erie, Penn., le quartier Pullman à Chicago et le Livable Claiborne Corridor de la Nouvelle-Orléans, il est plus facile de plaider en faveur des investisseurs lorsqu’il existe des données pour éclairer les besoins et les désirs de la communauté. Ces analyses font partie de l’engagement continu du Centre à doter les dirigeants d’outils interactifs et de perspectives de recherche pour faire progresser les économies inclusives aux niveaux local et régional. Lire la suite La vie financière des familles à faible revenu et de leurs communautés est notoirement difficile à comprendre à l’aide des ensembles de données publics traditionnels, et par conséquent, les investissements vont souvent ailleurs sur la fausse hypothèse qu’il n’y a pas de « pouvoir d’achat » dans le quartier. Pour les investisseurs, les coûts sont trop élevés pour rassembler des données uniques pour des villes et des communautés plus petites et hors radar, nous a dit l’année dernière Matt Wachter d’Erie Downtown Development Corp. C’était l’une des raisons pour lesquelles Erie était négligée pour les investissements. Les informations basées sur les données de dépenses anonymisées et agrégées de Mastercard aident à surmonter bon nombre de ces défis en offrant un aperçu beaucoup plus détaillé, presque en temps réel, non seulement de ce sur quoi les communautés dépensent, mais où. Notre analyse de données à Érié, par exemple, a identifié où les navetteurs du centre-ville dépensaient leur argent pendant la journée, ce qui a aidé les urbanistes à réaliser un investissement de 22 millions de dollars dans une épicerie, une distillerie et un centre culinaire dans un ancien désert alimentaire. Bon nombre des nouveaux magasins sont des entreprises appartenant à des femmes et à des minorités. Soutenir l’initiative Invest South/West de Chicago Les informations peuvent également aider le développement territorial à identifier et valider les services de base et essentiels dont les résidents ont besoin et qu’ils souhaitent dans les quartiers mal desservis. Dans le cadre des efforts du Centre pour faire progresser la science des données pour l’impact social, une équipe bénévole d’analystes de données et de consultants a collaboré avec le Département de la planification et du développement de Chicago pour une plongée profonde dans les tendances des dépenses de consommation dans les 10 quartiers qui font partie de l’Investment de la ville Initiative Sud/Ouest. L’initiative dirigée par la ville investit 750 millions de dollars dans ces quartiers à faible revenu en grande partie noirs et latins pour apporter les soutiens, les logements et les services nécessaires ainsi que pour relancer les investissements du secteur privé. Avec la contribution des membres de la communauté et des entreprises, nous avons analysé les données sur les dépenses avant et pendant la pandémie dans chacune des zones communautaires, en ventilant les dépenses par biens et services essentiels et non essentiels. Les quartiers sud/ouest voient beaucoup plus de dépenses pour les articles essentiels Même avant la pandémie, environ la moitié des dépenses dans les quartiers sud/ouest semblent avoir été consacrées à des produits essentiels comme l’épicerie, les voitures et les marchandises générales (graphique 2). En revanche, à l’échelle de la ville, seulement 20 % environ des dépenses totales ont été consacrées à des articles essentiels. Comme le montre le graphique, les dépenses dans les restaurants et les services de restauration dans les quartiers Sud/Ouest étaient beaucoup plus faibles. Les communautés du Sud/Ouest ont attiré plus de dépenses locales après la frappe de COVID-19 Lorsque la pandémie a frappé, les dépenses dans les quartiers Invest South/West n’ont pas autant diminué qu’elles se sont redistribuées. Les dépenses dans trois des quartiers Sud/Ouest ont augmenté (voir carte) tandis que dans quatre autres communautés, les dépenses sont restées inchangées. En revanche, les quartiers les plus riches le long de North Lakefront ont connu de fortes baisses à mesure que les restaurants et les options de loisirs ont fermé. Les économies induites par la pandémie signifient plus de dépenses pour d’autres éléments essentiels Un examen plus détaillé des dépenses dans quatre quartiers sud/ouest indique que les économies sur le carburant automobile et d’autres catégories touchées par la pandémie semblent avoir été détournées vers l’essentiel. Chacune des quatre communautés a connu une augmentation des dépenses en électronique, probablement à la suite de la fermeture des écoles et de la mise en ligne des étudiants. Les écoles publiques de Chicago ont distribué des ordinateurs portables aux élèves, mais les besoins l’emportaient sur les fournitures. Les épiceries ont également connu un bond, en particulier à Englewood, où les dépenses ont augmenté de 61 %. De nombreuses familles ont reçu une carte de débit préchargée pour la nourriture des écoles au lieu des déjeuners gratuits et réduits, ce qui aurait pu contribuer à l’augmentation des courses, ainsi qu’aux achats induits par la pandémie. Les dépenses dans les restaurants (« nourriture ») et l’essence ont plongé dans l’intervalle, ce qui est normal car les commandes de travail à domicile sont entrées en vigueur et les restaurants ont fermé. Soutenir les communautés avec des informations adaptées et opportunes basées sur les données Dans l’ensemble, l’analyse suggère que les familles des quartiers Sud/Ouest concentrent leurs dépenses sur l’essentiel et quittent leurs quartiers pour faire leurs courses. Le modèle de dépenses parle à la fois de la demande et des types de magasins qui pourraient prospérer dans ces quartiers. Une meilleure compréhension de la vie financière et des habitudes de dépenses des familles à faible revenu peut aider les entités des secteurs public et privé à garantir que les investissements répondent aux besoins locaux. En créant des quartiers plus robustes, les villes peuvent également contribuer à réduire le coût de la vie des familles et leur redonner le temps perdu à grands frais. Michelle Thompson est chercheure principale en données au Centre et professeure agrégée à l’Université de la Nouvelle-Orléans, Département de planification et d’études urbaines ; Ed Lee est responsable de la science des données pour le Centre ; et Barbara Ray est une écrivaine basée à Chicago qui écrit sur la politique sociale et la recherche. Découvrez plus de contenu du Mastercard Center for Inclusive Growth Voir des contenus multimédias supplémentaires et plus de récits ESG du Mastercard Center for Inclusive Growth sur 3blmedia.com Voir la version source sur newsdirect.com : https://newsdirect.com/news/data-driven-insights-to-build-connected-communities-904895863 Source link
  3. MoneyRates.com annonce les prix des meilleurs tarifs américains pour 2021 : Les taux d’intérêt menacés par le taux d’inflation le plus élevé depuis plus de 30 ans VILLE D’ACCUEIL, Californie, 22 septembre 2021 /PRNewswire/ — MoneyRates.com, un site de comparaison de finances personnelles et de taux, annonce aujourd’hui les gagnants de son étude 2021 America’s Best Rates. L’analyse montre que les taux d’intérêt des comptes d’épargne, des comptes du marché monétaire et des certificats de dépôt (CD) sont menacés par le taux d’inflation le plus élevé depuis plus de 30 ans. L’enquête, qui récompense les 10 meilleurs comptes dans chaque catégorie, révèle que l’inflation a augmenté au cours de l’été et que les taux des comptes d’épargne sont tombés à leur plus bas niveau de l’histoire de l’enquête. Les analystes de MoneyRates suivent et comparent les taux sur ces comptes depuis 2012. Bien que les perspectives générales des taux de dépôt puissent être sombres, les consommateurs peuvent prendre le contrôle en recherchant les meilleurs taux. Meilleurs taux de compte d’épargneLes taux ont culminé au début de 2019, mais n’ont cessé de baisser depuis. Le taux moyen n’est désormais que de 0,104 %, mais les consommateurs qui magasinent avec soin peuvent trouver les meilleurs taux de compte d’épargne qui sont de 0,50 % ou plus que les taux moyens. Le taux moyen en ligne de 0,319 % est plus de neuf fois supérieur au taux moyen de 0,034% pour les comptes traditionnels en agence. Notamment, chaque taux supérieur provient d’un compte en ligne. (PRNewsfoto/MoneyRates.com) Meilleurs taux du marché monétaireLe taux moyen des comptes monétaires en ligne (MMA) (0,235%) est cinq fois supérieur au taux moyen des comptes monétaires traditionnels (0,047%). Les MMA étaient légèrement plus élevés que les comptes d’épargne il y a deux ans, mais ont baissé plus rapidement et sont maintenant plus bas, ce qui les rend plus vulnérables à l’inflation. Meilleurs tarifs CD sur 1 anLe taux de CD moyen à un an est de 0,183 %. Les taux CD à un an sont plus élevés que les taux d’épargne moyens et les taux MMA et permettent aux investisseurs de bloquer leur taux d’intérêt plutôt que de fluctuer comme leurs homologues. Le taux de CD moyen en ligne sur un an est de 0,337 %, contre seulement 0,134 % pour les comptes traditionnels, ce qui montre aux consommateurs qu’il est payant de rechercher les meilleurs tarifs de CD. Lire la suite Meilleurs taux de CD sur 5 ansLe taux de CD moyen global sur cinq ans est de 0,341%. Bien que ceux-ci nécessitent un engagement plus long, les consommateurs bénéficient d’un avantage tarifaire par rapport aux autres comptes examinés dans l’enquête. Les comptes en ligne offrent les meilleurs taux avec une moyenne de 0,504 %, contre une moyenne de 0,290 % pour un compte en agence. « Ce que montre l’enquête, c’est que l’épargne durement gagnée des consommateurs pourrait perdre du terrain face à l’inflation », explique Kristin Marin, analyste bancaire et rédacteur en chef de MoneyRates. « Cependant, les Américains peuvent riposter en cherchant de meilleurs taux. Nous espérons que l’analyse de cette année pourra être un point de départ pour les consommateurs qui cherchent à prendre le contrôle de leurs investissements et de leur avenir financier. » MéthodologiePour fournir une vue représentative des tendances bancaires, cette analyse est basée sur l’indice MoneyRates, un échantillon cohérent de comptes reflétant un échantillon représentatif du secteur des dépôts de détail. L’indice MoneyRates est composé de 50 des plus grandes institutions de dépôt de détail en les États Unis, plus 25 petites banques et 25 banques de taille moyenne. La dernière enquête America’s Best Rates sur les classements des comptes d’épargne, du marché monétaire et des comptes CD est basée sur les tarifs publiés au milieu du troisième trimestre 2021. Tarifs disponibles pour les clients avec un 10 000 $ solde et aucune relation plus large avec la banque ne sont utilisées pour cette enquête. À propos de MoneyRates MoneyRates est détenu et exploité par QuinStreet, Inc. (Nasdaq : QNST), un leader dans la fourniture de technologies et de services de marché de performance aux secteurs des services financiers et des services à domicile. QuinStreet est un pionnier dans la fourniture de solutions de marché en ligne pour faire correspondre les chercheurs avec les marques dans les médias numériques. L’entreprise s’engage à fournir aux consommateurs les informations et les outils dont ils ont besoin pour rechercher, trouver et sélectionner les produits et les marques qui répondent à leurs besoins. MoneyRates est membre de la division experte de recherche et d’édition de QuinStreet. Depuis 1998, MoneyRates sert de ressource financière personnelle conçue pour aider les lecteurs à tirer le meilleur parti de leur argent. En plus d’une variété de calculatrices financières, MoneyRates recherche et suit les taux de CD, d’épargne et du marché monétaire offerts par plus de 400 institutions financières à travers le pays pour offrir des conseils d’experts sur les opérations bancaires, les investissements et la planification de la retraite. Twitter: @MoneyRatesFacebook : https://www.facebook.com/MoneyRatesdotcom Contact médiasAmy EuryGestionnaire principal, Relations publiques aeury@quinstreet.comDirect +1.412.532.9352LinkedIn Cision Affichez le contenu original pour télécharger le multimédia : https://www.prnewswire.com/news-releases/moneyratescom-announces-americas-best-rates-awards-for-2021-301382877.html SOURCE MoneyRates.com Source link
  4. MoneyRates.com annonce les prix des meilleurs tarifs américains pour 2021 : Les taux d’intérêt menacés par le taux d’inflation le plus élevé depuis plus de 30 ans VILLE D’ACCUEIL, Californie, 22 septembre 2021 /PRNewswire/ — MoneyRates.com, un site de comparaison de finances personnelles et de taux, annonce aujourd’hui les gagnants de son étude 2021 America’s Best Rates. L’analyse montre que les taux d’intérêt des comptes d’épargne, des comptes du marché monétaire et des certificats de dépôt (CD) sont menacés par le taux d’inflation le plus élevé depuis plus de 30 ans. L’enquête, qui récompense les 10 meilleurs comptes dans chaque catégorie, révèle que l’inflation a augmenté au cours de l’été et que les taux des comptes d’épargne sont tombés à leur plus bas niveau de l’histoire de l’enquête. Les analystes de MoneyRates suivent et comparent les taux sur ces comptes depuis 2012. Bien que les perspectives générales des taux de dépôt puissent être sombres, les consommateurs peuvent prendre le contrôle en recherchant les meilleurs taux. Meilleurs taux de compte d’épargneLes taux ont culminé au début de 2019, mais n’ont cessé de baisser depuis. Le taux moyen n’est désormais que de 0,104 %, mais les consommateurs qui magasinent avec soin peuvent trouver les meilleurs taux de compte d’épargne qui sont de 0,50 % ou plus que les taux moyens. Le taux moyen en ligne de 0,319 % est plus de neuf fois supérieur au taux moyen de 0,034% pour les comptes traditionnels en agence. Notamment, chaque taux supérieur provient d’un compte en ligne. (PRNewsfoto/MoneyRates.com) Meilleurs taux du marché monétaireLe taux moyen des comptes monétaires en ligne (MMA) (0,235%) est cinq fois supérieur au taux moyen des comptes monétaires traditionnels (0,047%). Les MMA étaient légèrement plus élevés que les comptes d’épargne il y a deux ans, mais ont baissé plus rapidement et sont maintenant plus bas, ce qui les rend plus vulnérables à l’inflation. Meilleurs tarifs CD sur 1 anLe taux de CD moyen à un an est de 0,183 %. Les taux CD à un an sont plus élevés que les taux d’épargne moyens et les taux MMA et permettent aux investisseurs de bloquer leur taux d’intérêt plutôt que de fluctuer comme leurs homologues. Le taux de CD moyen en ligne sur un an est de 0,337 %, contre seulement 0,134 % pour les comptes traditionnels, ce qui montre aux consommateurs qu’il est payant de rechercher les meilleurs tarifs de CD. Lire la suite Meilleurs taux de CD sur 5 ansLe taux de CD moyen global sur cinq ans est de 0,341%. Bien que ceux-ci nécessitent un engagement plus long, les consommateurs bénéficient d’un avantage tarifaire par rapport aux autres comptes examinés dans l’enquête. Les comptes en ligne offrent les meilleurs taux avec une moyenne de 0,504 %, contre une moyenne de 0,290 % pour un compte en agence. « Ce que montre l’enquête, c’est que l’épargne durement gagnée des consommateurs pourrait perdre du terrain face à l’inflation », explique Kristin Marin, analyste bancaire et rédacteur en chef de MoneyRates. « Cependant, les Américains peuvent riposter en cherchant de meilleurs taux. Nous espérons que l’analyse de cette année pourra être un point de départ pour les consommateurs qui cherchent à prendre le contrôle de leurs investissements et de leur avenir financier. » MéthodologiePour fournir une vue représentative des tendances bancaires, cette analyse est basée sur l’indice MoneyRates, un échantillon cohérent de comptes reflétant un échantillon représentatif du secteur des dépôts de détail. L’indice MoneyRates est composé de 50 des plus grandes institutions de dépôt de détail en les États Unis, plus 25 petites banques et 25 banques de taille moyenne. La dernière enquête America’s Best Rates sur les classements des comptes d’épargne, du marché monétaire et des comptes CD est basée sur les tarifs publiés au milieu du troisième trimestre 2021. Tarifs disponibles pour les clients avec un 10 000 $ solde et aucune relation plus large avec la banque ne sont utilisées pour cette enquête. À propos de MoneyRates MoneyRates est détenu et exploité par QuinStreet, Inc. (Nasdaq : QNST), un leader dans la fourniture de technologies et de services de marché de performance aux secteurs des services financiers et des services à domicile. QuinStreet est un pionnier dans la fourniture de solutions de marché en ligne pour faire correspondre les chercheurs avec les marques dans les médias numériques. L’entreprise s’engage à fournir aux consommateurs les informations et les outils dont ils ont besoin pour rechercher, trouver et sélectionner les produits et les marques qui répondent à leurs besoins. MoneyRates est membre de la division experte de recherche et d’édition de QuinStreet. Depuis 1998, MoneyRates sert de ressource financière personnelle conçue pour aider les lecteurs à tirer le meilleur parti de leur argent. En plus d’une variété de calculatrices financières, MoneyRates recherche et suit les taux de CD, d’épargne et du marché monétaire offerts par plus de 400 institutions financières à travers le pays pour offrir des conseils d’experts sur les opérations bancaires, les investissements et la planification de la retraite. Twitter: @MoneyRatesFacebook : https://www.facebook.com/MoneyRatesdotcom Contact médiasAmy EuryGestionnaire principal, Relations publiques aeury@quinstreet.comDirect +1.412.532.9352LinkedIn Cision Affichez le contenu original pour télécharger le multimédia : https://www.prnewswire.com/news-releases/moneyratescom-announces-americas-best-rates-awards-for-2021-301382877.html SOURCE MoneyRates.com Source link
  5. Garder les prêts et hypothèques des membres dans les UC : Les coopératives de crédit ont une longue histoire d’obtenir les meilleures notes en matière de satisfaction des membres – avec raison. Les UC offrent bon nombre des mêmes services et outils financiers que les banques traditionnelles, mais plusieurs avantages les distinguent de leurs concurrents. Les membres de l’UC possèdent une part de l’UC et sont compensés par des avantages que les autres institutions financières (IF) ne peuvent souvent pas égaler, notamment des coûts réduits, des rendements plus élevés sur les comptes portant intérêt et des taux plus bas sur les prêts. Les UC peuvent même être en mesure de fournir aux membres un soulagement financier rapide et une aide monétaire en cas de difficultés imprévues. Les taux d’intérêt concurrentiels sur les chèques et les épargnes sont des offres courantes de CU, alors que certaines banques offrent peu ou pas d’intérêt sur les comptes chèques. Capitol Credit Union, basée au Texas, par exemple, offre actuellement un rendement annuel en pourcentage de 2,0 sur la vérification, ainsi qu’une remise en argent sur les achats par carte de débit, un accès anticipé aux chèques de paie et d’autres incitations pour les membres éligibles. Les membres éligibles de l’UC peuvent également bénéficier de taux d’intérêt inférieurs sur les prêts à l’éducation, à l’automobile et au logement. On pourrait penser qu’une telle liste d’avantages ferait que les membres des coopératives de crédit n’auraient aucune envie d’aller ailleurs pour leurs besoins bancaires, mais ce n’est pas le cas. Des rapports récents de l’American Customer Satisfaction Index (ACSI) montrent une baisse continue de la satisfaction des membres de la CU, derrière celle des clients des banques au cours des deux dernières années. Une lacune potentielle est la facilité de recevoir ou de gérer un prêt en ligne, avec plus d’un tiers des membres de l’UC déclarant avoir eu des problèmes avec ces processus. Ce point douloureux peut influencer le nombre croissant de membres de l’UC recherchant des services de prêt – en particulier des hypothèques de premier et de deuxième rang – auprès d’autres IF. Le Deep Dive suivant examine les services fournis par les coopératives de crédit dans le domaine des prêts et des hypothèques. Il explique également comment les UC peuvent adapter leurs offres de prêts et d’hypothèques pour empêcher les membres de rechercher ces services ailleurs. Les membres exigent de meilleurs services Les consommateurs ont traditionnellement afflué vers les UC pour leur touche personnelle, mais les membres sont devenus moins satisfaits de leurs UC. Cela pourrait refléter la difficulté des UC à suivre le virage numérique de 2020, mais la satisfaction glissait déjà avant le début de la pandémie. L’étude 2020 d’ACSI a rapporté que la satisfaction des membres de l’UC a chuté de 2,5% sur un an pour un score de 77 sur 100, par rapport au score des banques de 78 – le score le plus bas des CU à ce jour, après une baisse similaire en 2019 qui représentait la première fois que cela les banques ont obtenu des scores plus élevés dans cette catégorie. D’autres preuves suggèrent également qu’un manque de transparence dans les transactions numériques a un impact sur la satisfaction des membres de l’UC. Les banques et autres IF obtiennent de meilleurs résultats que les UC en termes de volume de prêts hypothécaires, par exemple, les UC ne finançant qu’une petite minorité de prêts hypothécaires aux États-Unis, bien que les UC obtiennent un score supérieur de 10 % à celui des banques en ce qui concerne la satisfaction des clients à l’égard de l’expérience de prêt. L’une des raisons est mise en évidence par le fait que 36% des membres de l’UC déclarent avoir eu des difficultés à gérer ou à recevoir un prêt en ligne. Même avec une augmentation du personnel et une meilleure portée, les UC constatent qu’une grande majorité des demandeurs de prêts hypothécaires finissent par financer par l’intermédiaire d’autres prêteurs. L’innovation est la clé de la satisfaction des membres Les UC offrent un large éventail de produits financiers, mais les recherches de PYMNTS montrent que plus de la moitié de leurs membres utilisent une autre banque ou IF pour au moins un produit ou service. Cette part augmente, en outre, du fait que les membres se tournent vers d’autres IF pour des instruments financiers clés, notamment des hypothèques, des lignes de crédit commerciales et des prêts participatifs. Quatre-vingt-quatre pour cent de plus de membres de l’UC obtiennent des hypothèques de deuxième rang auprès d’autres IF cette année qu’en 2020, et 16 % de plus fuient vers d’autres IF pour des lignes de crédit commerciales, tout comme 11 % pour des prêts sur valeur domiciliaire. La recherche de PYMNTS révèle également pourquoi, au moins en partie : près de la moitié des membres qui ont contracté un prêt hypothécaire ailleurs ont déclaré qu’ils l’auraient fait dans leur CU si elle avait proposé des produits plus innovants. Les attentes des consommateurs évoluent rapidement, en particulier à la suite de la pandémie, mais les recherches de PYMNTS montrent que les UC ne sont pas toujours disponibles avec les produits et services que leurs membres souhaitent le plus. Les options de deuxième hypothèque et les prêts sur valeur domiciliaire sont plus demandés par les membres que la plupart des autres produits, mais aucune des UC interrogées n’a montré une volonté d’innover en matière d’offres de deuxième hypothèque. Soixante-six pour cent des membres ont manifesté leur intérêt à utiliser leurs UC pour des lignes de crédit commerciales, mais moins de la moitié des UC ont déclaré être disposées à innover de nouveaux produits dans ce domaine pour atténuer les pertes. Malgré le manque apparent d’intérêt des UC pour ces innovations, presque tous les dirigeants d’UC interrogés ont déclaré que le refinancement de prêts hypothécaires auprès d’autres IF aurait un impact négatif sur les revenus de leurs institutions. Cette part reste presque aussi élevée en ce qui concerne les crédits auto, à 85 %. Les produits financiers tels que les lignes de crédit et les fonds propres font partie des services les plus rentables offerts aux membres, et l’hésitation des UC à innover dans ces domaines peut entraîner des fuites indésirables de portefeuille. Pour rester les meilleurs acteurs de la satisfaction des membres ainsi que de la rentabilité, les UC doivent changer leur état d’esprit vis-à-vis des nouvelles technologies et exprimer une plus grande volonté d’adopter les services demandés par leurs membres. Source link
  6. Pour le CEO de BNP Paribas Fortis : « Les entreprises belges sont extrêmement résilientes » – Finance : A l’occasion de la présentation des résultats au premier semestre de BNP Paribas Fortis, son parrain Max Jadot fait le point sur l’état de santé économique du pays. Malgré 18 mois de crise, il ne s’attend pas à un tsunami de faillites. Décontracté et souriant, Max Jadot… En cette rentrée 2021, le patron de BNP Paribas Fortis a même tombé la cravate. Et pour cause. Alors qu’elle avait enregistré l’an dernier un recul de son bénéfice de 23% au premier semestre, la première banque du pays voit aujourd’hui son résultat net bondir de 42%! Un rebond à l’image de la tonicité retrouvée de notre économie. Laquelle devrait, selon Max Jadot, avoir oublié la crise dès le début 2022. Et au final, dit-il, « sans de trop gros drames pour les entreprises ». … Décontracté et souriant, Max Jadot… En cette rentrée 2021, le patron de BNP Paribas Fortis a même tombé la cravate. Et pour cause. Alors qu’elle avait enregistré l’an dernier un recul de son bénéfice de 23% au premier semestre, la première banque du pays voit aujourd’hui son résultat net bondir de 42%! Un rebond à l’image de la tonicité retrouvée de notre économie. Laquelle devrait, selon Max Jadot, avoir oublié la crise dès le début 2022. Et au final, dit-il, « sans de trop gros drames pour les entreprises ». TENDANCES-TENDANCES. Vous venez de publier un bénéfice semestriel de 1 143 milliards d’euros, contre 804 millions de voix sur un an. Qu’est-ce qui explique ce bon premier semestre ? MAX JADOT. Les banques ne sont pas des êtres éthérés qui vivent dans un monde à part. Elles sont complètement intégrées (intégrées) dans l’économie. Bien entendu, certains secteurs comme l’événement ou le tourisme, voire certaines sous-régions spécifiques, encore beaucoup. Mais globalement, l’économie du pays fonctionne bien, ce qui fait que les résultats des banques et de BNP Paribas Fortis sont bons. Il y a une logique immédiate. Vous avez donc été au rendez-vous de la reprise ? Qu’il s’agit du retail, du private banking et de la banque d’affaires, les revenus progressent dans tous les segments d’activité. Ils sont bons également pour nos filiales, comme Arval par exemple. D’un autre côté, le niveau du risque est inférieur à ce qu’il était en plein virus et la maîtrise des coûts nous permet de maintenir une efficacité opérationnelle pratiquement la même que l’an passé, ce qui se traduit par une belle amélioration du coefficient d’exploitation à 57%. Dit autrement, la banque a bien performé dans tous ses métiers et dans tous les son bénéfice. La page de la crise est-elle déjà tournée ? Il ya bien sûr un effet de rattrapage par rapport à 2020 qui, comme on le sait, fut une année très particulière. Mais nous dégageons tout de même 100 millions de plus que sur la même période en 2019 (à l’époque, bénéfice semestriel était de 1,050 milliard, Ndlr). Nous avons donc retrouvé notre niveau pré-covid, comme beaucoup d’entreprises d’ailleurs. Contrairement aux attentes beaucoup plus négatives de certains, vous nous disiez justement exprimer une que l’économie belge retrouverait son niveau d’avant-crise vers la mi-2022. Vos prédictions se révèlent aujourd’hui exactes. A l’époque, c’était mon intuition personnelle. Entre-temps, nous avons développé en collaboration avec l’université de Gand un outil d’anticipation de l’évolution du PIB que nous appelons nowcasting. Sur base de différentes données anonymisées, dont les mouvements sur les comptes de nos clients entreprises (PME, corporate), nous sommes aujourd’hui capables d’encore mieux prédire l’économie, avant même des instances officielles comme la Banque nationale. Plus concrètement ? Tout en restant légèrement positif, la croissance de l’économie belge va s’aplatir pour tourner autour de 1% au troisième trimestre. Et comme je l’ai dit il y a un effectivement, elle retrouvera ensuite son niveau d’avant-crise début de l’année prochaine ( la banque prévoit une croissance de 3% en 2022, Ndlr). .Il ne faut donc pas s’attendre à un tsunami de faillites? Je n’observe pas de tels signaux au sein de nos clients pour le moment. Quand je parle avec eux, ceux-là mêmes qui sont actifs dans les secteurs les plus difficiles, ils sont rentables. La tendance est donc plutôt positive. On le voit dans la confiance des entrepreneurs, dans le marché du travail, dans le comportement des consommateurs, dans les investissements des entreprises. Je reste donc positif: je ne m’attends pas à une vague de faillites. Comment expliquez-vous ce fort rebond des entreprises après un choc qui fut gigantesque ? Les mesures de soutien public ont bien fonctionné : le chômage technique, les moratoires sur les crédits, les rapports de cotisation, etc. D’un côté, les banques ont joué leur rôle. Elles ont continué à soutenir l’économie réelle. Nous finançons chez BNP Paribas Fortis plus de 130 milliards de crédits en Belgique. Tout cela a permis aux entreprises de s’adapter. Pendant un an et demi, elles se sont digitalisées, ont trouvé d’autres marchés, ont adapté leur base de coûts, etc. Beaucoup de résilience, donc… En fait, à chaque crise en Belgique, on se rend compte que les les entreprises belges sont extrêmement résilientes. Elles l’ont prouvé durant la crise des années 1990, après la crise financière de 2008 et plus récemment lors du Brexit. Le fait qu’elles soient peu endettées aide également. Et puis, bien sûr, beaucoup d’indépendants ont pris sur eux au cours des 18 derniers mois, en s’octroyant moins de bénéfices, moins de salaire… Tout n’est pas gagné pour autant. L’économie est à nouveau dans le vert. La tendance est plutôt positive mais pas de manière exubérante comme au cours des derniers mois. Comme je l’ai dit, certains secteurs suivent encore. Par ailleurs, va-t-on vers une quatrième vague ? Je n’ai pas de boule de cristal. Mais nous avons la chance d’avoir un vaccin après un an. La réponse à cette incertitude est donc simple : vacciner, vacciner, vacciner ! En tant que citoyen et PDG, il faut le dire. Y at-il d’autres dangers à plus long terme ? Pour le moment, la demande est là. Mais pas l’offre. Il faudra voir comment ce choc sur la supply chain va évoluer. Est-ce temporaire ou pas, cela va-t-il se traduire dans l’inflation? A nouveau, je n’ai pas de boule de cristal. Mais une série d’éléments positifs vont nous soutenir dans les trimestres à venir. On a beaucoup parlé du covid comme accélérateur de tendance, notamment sur le terrain du digital. Dans quelle mesure est-ce le cas chez vous ? Les chiffres sont assez impressionnants : plus de 2,4 millions de clients utilisent désormais nos canaux numériques et nous enregistrons une croissance chez les plus de 65 ans de 30% sur l’appli bancaire. Nous accélérons également sur le terrain du Beyond banking avec plusieurs développements dans quatre écosystèmes (vivre, mobilité, travail, paiements). Début 2022, nous offrirons par exemple un nouveau service de télésurveillance, Homiris. En matière de mobilité, nos clients bénéficient désormais de l’infrastructure des bornes de recharge électrique du réseau Optimile, dont nous avons récemment augmenté le capital de 8 millions d’euros en partenariat avec Touring et AG Insurance. Le covid vous amène aussi à accélérer dans le private equity et la bancassurance ? Notre activité en matière de private equity n’est pas neuve, elle a toujours existé. Cela fait 40 ans que nous en faisons. Les plus anciens se souviendront de VIV et Synerfi. Mais, effectivement, il y a clairement une accélération liée au covid. Nous souhaitons investir 100 millions de plus par pour arriver à un milliard d’euros d’ici 20. Cela correspond à un besoin d’accompagnement des entreprises dans leur croissance. Et c’est pour la banque une vision stratégique. Et en assurance ? Là aussi, nous souhaitons être encore plus proches des clients. Raison pour laquelle nous lancerons en novembre une nouvelle ligne d’activité de produits d’assurance pour les entrepreneurs. Une équipe de 50 à 70 nouveaux collègues va pousser la distribution de produits développés par notre partenaire AG Insurance. Une vingtaine d’assurances et des packs sur mesure pour des secteurs spécifiques seront ainsi directement mis à disposition des entrepreneurs au travers d’un guichet unique couvrant 85% de leurs besoins (habitation, véhicule, assistance juridique, etc. ). C’est un développement important et stratégique également. Un mot sur les inondations ? Ces événements révèlent une fois encore l’importance du rôle sociétal que nous jouons, tout d’abord par le biais de nos activités mais aussi, et plus largement, en tant qu’acteur clé du tissu économique et social en Belgique. Nous avons rapidement mis en place des solutions spécifiques ainsi qu’une hotline pour aider nos clients sinistrés afin de traiter notamment 5.000 demandes d’indemnisation. Sur le plan interne, j’ai personnellement appelé cinq collègues qui figuraient parmi les plus touchés. Les histoires sont vraiment effrayantes. Quid du télétravail : qu’avez-vous décidé à ce niveau-là ? Des discussions sont en cours à ce sujet avec les syndicats. Depuis le 6 septembre, notre personnel des services centraux prend trois jours de télétravail par semaine. Je suis absolument convaincu de l’importance d’une certaine présence au bureau : pour la formation, pour l’affectio societatis, etc. Votre nouveau siège, à la rue Montagne du parc, ne sera-t-il pas trop grand ? Non, il est entièrement modulable, durable et totalement adapté aux nouvelles façons de travailler. Les premières équipes déménageront mi-novembre. Ce nouveau siège nous permettra de regrouper tous les services localisés à Bruxelles (rue du Marais, immeuble Boréal, etc.). Le regroupement de l’ensemble des équipes à Bruxelles était prévu pour 2025, mais l’opération va maintenant se dérouler plus rapidement, ce qui permettra de faire des économies. En agence, comment s’organise le retour au bureau ? Nous conservons le système de l’ouverture uniquement sur rendez-vous, qui fonctionne très bien, et qui est étendu à l’après-midi. Les clients sont satisfaits. Ils peuvent désormais prendre rendez-vous durant toute la journée – y compris le samedi – et plus uniquement le matin. C’est un modèle de fonctionnement que nous continuons de suivre de près en fonction de la crise sanitaire et des besoins des clients. Pour terminer, allez-vous appliquer un taux d’intérêt négatif sur le compte d’épargne comme le font déjà plusieurs banques en Belgique ? Les taux vont rester bas pendant encore un certain temps. La problématique va rester la même pour les banques. Avec une marge sur les dépôts qui s’effondre depuis deux ou trois ans, il faut maîtriser les nouvelles sources de revenus, maîtriser fortement les coûts et bien gérer les risques. Dans ce contexte, il n’est pas impossible que les gros dépôts voient un jour imposer un taux négatif. Ce que je peux vous dire par contre, c’est que nous ne prévoyons pas de taux d’intérêt négatif pour l’épargnant de base. Cela ne correspond pas à notre rôle dans la société. C’est la liquidité qui a sauvé la banque en 2008, lors de la crise financière. Il ne faut pas l’oublier : c’est une question de respect envers les épargnants. window.fbAsyncInit = function () { // Init the FB JS SDK FB.init({ appId: '144439012322', // App ID from the app dashboard status: true, // Check Facebook Login status xfbml: true // Look for social plugins on the page }); // Additional initialization code such as adding Event Listeners goes here FB.Event.subscribe('edge.create', function (href, widget) { if (href.indexOf('facebook.com') == -1) { headjs.ready("bp_bt", rmgBtTrackerCallBack(1, "fb")) } } ); }; // Load the SDK asynchronously (function () { // If we've already installed the SDK, we're done if (document.getElementById('facebook-jssdk')) { return; } // Get the first script element, which we'll use to find the parent node var firstScriptElement = document.getElementsByTagName('script')[0]; // Create a new script element and set its id var facebookJS = document.createElement('script'); facebookJS.id = 'facebook-jssdk'; // Set the new script's source to the source of the Facebook JS SDK facebookJS.src="http://connect.facebook.net/fr_FR/all.js"; // Insert the Facebook JS SDK into the DOM firstScriptElement.parentNode.insertBefore(facebookJS, firstScriptElement); }()); Source link
  7. Des informations basées sur les données pour créer des communautés connectées : Les informations basées sur les données de Mastercard peuvent aider les parties prenantes locales à créer des communautés à service complet qui répondent aux besoins des résidents. Northampton, MA –News Direct– Le Centre Mastercard pour la croissance inclusive Par Michelle Thompson, Edward Lee et Barbara Ray Publié à l’origine par le Mastercard Center for Inclusive Growth Les côtés ouest et sud de Chicago abritent certaines des familles les plus marginalisées de la ville, mais aussi certaines des communautés les plus profondément enracinées, riches en culture et en histoire. Mais le manque d’investissement dans ces quartiers signifie que les résidents passent une grande partie de leur vie quotidienne dans un bus, un vélo ou une voiture à faire leurs courses, à payer les factures et à récupérer leurs enfants à la garderie, le tout loin de chez eux. Ce qui peut prendre à une famille de la classe moyenne avec deux voitures par heure pour faire quelques courses en prend quatre à une famille à faible revenu. Les coûts sont plus que du temps perdu. Être pauvre coûte cher. Lorsqu’il n’y a pas de services bancaires abordables dans le quartier, les familles ont recours à des options plus coûteuses telles que les services d’encaissement de chèques. Lorsqu’il n’y a pas d’épiceries à service complet, elles doivent payer plus cher pour des aliments moins nutritifs. Lorsqu’il n’y a pas d’accès aux cliniques de santé, les résidents finissent par utiliser la salle d’urgence pour les soins primaires. C’est l’une des raisons pour lesquelles le mouvement 15-Minute City prend racine. Une ville saine, soutiennent les urbanistes, est une ville où les résidents peuvent trouver tout ce dont ils ont besoin à moins de 15 minutes à pied de chez eux. Une nouvelle analyse de données du Mastercard Center for Inclusive Growth indique que les résidents des côtés sud et ouest de Chicago sont loin d’un quartier à 15 minutes. En fait, jusqu’à 86 % des dépenses des résidents sont effectuées en dehors de leur quartier. De meilleurs résultats pour les communautés commencent par des données ponctuelles et localisées Comme nous l’avons appris dans des analyses précédentes pour Erie, Penn., le quartier Pullman à Chicago et le Livable Claiborne Corridor de la Nouvelle-Orléans, il est plus facile de plaider en faveur des investisseurs lorsqu’il existe des données pour éclairer les besoins et les désirs de la communauté. Ces analyses font partie de l’engagement continu du Centre à doter les dirigeants d’outils interactifs et de perspectives de recherche pour faire progresser les économies inclusives aux niveaux local et régional. Lire la suite La vie financière des familles à faible revenu et de leurs communautés est notoirement difficile à comprendre à l’aide des ensembles de données publics traditionnels, et par conséquent, les investissements vont souvent ailleurs sur la fausse hypothèse qu’il n’y a pas de « pouvoir d’achat » dans le quartier. Pour les investisseurs, les coûts sont trop élevés pour rassembler des données uniques pour des villes et des communautés plus petites et hors radar, nous a dit l’année dernière Matt Wachter d’Erie Downtown Development Corp. C’était l’une des raisons pour lesquelles Erie était négligée pour les investissements. Les informations basées sur les données de dépenses anonymisées et agrégées de Mastercard aident à surmonter bon nombre de ces défis en offrant un aperçu beaucoup plus détaillé, presque en temps réel, non seulement de ce sur quoi les communautés dépensent, mais où. Notre analyse de données à Érié, par exemple, a identifié où les navetteurs du centre-ville dépensaient leur argent pendant la journée, ce qui a aidé les urbanistes à réaliser un investissement de 22 millions de dollars dans une épicerie, une distillerie et un centre culinaire dans un ancien désert alimentaire. Bon nombre des nouveaux magasins sont des entreprises appartenant à des femmes et à des minorités. Soutenir l’initiative Invest South/West de Chicago Les informations peuvent également aider le développement territorial à identifier et valider les services de base et essentiels dont les résidents ont besoin et qu’ils souhaitent dans les quartiers mal desservis. Dans le cadre des efforts du Centre pour faire progresser la science des données pour l’impact social, une équipe bénévole d’analystes de données et de consultants a collaboré avec le Département de la planification et du développement de Chicago pour une plongée profonde dans les tendances des dépenses de consommation dans les 10 quartiers qui font partie de l’Investment de la ville Initiative Sud/Ouest. L’initiative dirigée par la ville investit 750 millions de dollars dans ces quartiers à faible revenu en grande partie noirs et latins pour apporter les soutiens, les logements et les services nécessaires ainsi que pour relancer les investissements du secteur privé. Avec la contribution des membres de la communauté et des entreprises, nous avons analysé les données sur les dépenses avant et pendant la pandémie dans chacune des zones communautaires, en ventilant les dépenses par biens et services essentiels et non essentiels. Les quartiers sud/ouest voient beaucoup plus de dépenses pour les articles essentiels Même avant la pandémie, environ la moitié des dépenses dans les quartiers sud/ouest semblent avoir été consacrées à des produits essentiels comme l’épicerie, les voitures et les marchandises générales (graphique 2). En revanche, à l’échelle de la ville, seulement 20 % environ des dépenses totales ont été consacrées à des articles essentiels. Comme le montre le graphique, les dépenses dans les restaurants et les services de restauration dans les quartiers Sud/Ouest étaient beaucoup plus faibles. Les communautés du Sud/Ouest ont attiré plus de dépenses locales après la frappe de COVID-19 Lorsque la pandémie a frappé, les dépenses dans les quartiers Invest South/West n’ont pas autant diminué qu’elles se sont redistribuées. Les dépenses dans trois des quartiers Sud/Ouest ont augmenté (voir carte) tandis que dans quatre autres communautés, les dépenses sont restées inchangées. En revanche, les quartiers les plus riches le long de North Lakefront ont connu de fortes baisses à mesure que les restaurants et les options de loisirs ont fermé. Les économies induites par la pandémie signifient plus de dépenses pour d’autres éléments essentiels Un examen plus détaillé des dépenses dans quatre quartiers sud/ouest indique que les économies sur le carburant automobile et d’autres catégories touchées par la pandémie semblent avoir été détournées vers l’essentiel. Chacune des quatre communautés a connu une augmentation des dépenses en électronique, probablement à la suite de la fermeture des écoles et de la mise en ligne des étudiants. Les écoles publiques de Chicago ont distribué des ordinateurs portables aux élèves, mais les besoins l’emportaient sur les fournitures. Les épiceries ont également connu un bond, en particulier à Englewood, où les dépenses ont augmenté de 61 %. De nombreuses familles ont reçu une carte de débit préchargée pour la nourriture des écoles au lieu des déjeuners gratuits et réduits, ce qui aurait pu contribuer à l’augmentation des courses, ainsi qu’aux achats induits par la pandémie. Les dépenses dans les restaurants (« nourriture ») et l’essence ont plongé dans l’intervalle, ce qui est normal car les commandes de travail à domicile sont entrées en vigueur et les restaurants ont fermé. Soutenir les communautés avec des informations adaptées et opportunes basées sur les données Dans l’ensemble, l’analyse suggère que les familles des quartiers Sud/Ouest concentrent leurs dépenses sur l’essentiel et quittent leurs quartiers pour faire leurs courses. Le modèle de dépenses parle à la fois de la demande et des types de magasins qui pourraient prospérer dans ces quartiers. Une meilleure compréhension de la vie financière et des habitudes de dépenses des familles à faible revenu peut aider les entités des secteurs public et privé à garantir que les investissements répondent aux besoins locaux. En créant des quartiers plus robustes, les villes peuvent également contribuer à réduire le coût de la vie des familles et leur redonner le temps perdu à grands frais. Michelle Thompson est chercheure principale en données au Centre et professeure agrégée à l’Université de la Nouvelle-Orléans, Département de planification et d’études urbaines ; Ed Lee est responsable de la science des données pour le Centre ; et Barbara Ray est une écrivaine basée à Chicago qui écrit sur la politique sociale et la recherche. Découvrez plus de contenu du Mastercard Center for Inclusive Growth Voir des contenus multimédias supplémentaires et plus de récits ESG du Mastercard Center for Inclusive Growth sur 3blmedia.com Voir la version source sur newsdirect.com : https://newsdirect.com/news/data-driven-insights-to-build-connected-communities-904895863 Source link
  8. Remarques du gouverneur -Réglementation agile de la Banque mondiale pour la transformation numérique : CENTREE BMERDE DE KENYA Régulation Agile pour la Transformation Digitale Remarques du Dr Patrick Njoroge Gouverneur, Banque centrale du Kenya Mercredi 22 septembre 2021 Comme préparé pour la livraison Excellences, Mesdames et Messieurs : Bonjour bon après-midi! J’ai le plaisir de vous joindre au webinaire sur la régulation agile pour la transformation numérique (A. Reg4DT). Permettez-moi tout d’abord d’exprimer ma gratitude à la Banque mondiale et à ses partenaires dans cette initiative pour l’invitation. Si d’une part, la pandémie de coronavirus (COVID-19) a bouleversé des vies et des moyens de subsistance, d’autre part, elle a favorisé la transformation numérique à une échelle sans précédent. Alors que la numérisation a transformé la prestation de services pour les entreprises, les gouvernements et a changé notre mode de vie, les régulateurs ont évalué les opportunités et les risques qui en résultent. L’initiative A.Reg4DT est opportune pour développer les capacités des régulateurs en Afrique alors que la numérisation transforme chaque facette de nos vies. En effet, le monde a radicalement changé depuis 2007, lorsque les services de transfert d’argent par téléphone mobile ont été introduits au Kenya pour répondre aux besoins financiers de base du transfert d’argent des travailleurs urbains à leurs familles rurales. Par la suite, les téléphones portables ont posé les rails numériques, qui ont vu la transformation de l’inclusion financière non seulement au Kenya mais dans toute l’Afrique. Peu de temps après, c’est la crise financière mondiale de 2007, dans les économies avancées, fondée sur une prise de risque excessive et la tendance de l’époque à la déréglementation. L’Afrique a été largement épargnée par les effets directs de cette crise étant donné ses liens relativement limités avec les marchés financiers mondiaux à l’époque. Immédiatement après la crise, l’accent a été mis sur le renforcement du secteur bancaire mondial par l’amélioration des volants de fonds propres et de liquidité, la gestion des risques et une refonte des pratiques de gouvernance d’entreprise. L’un des effets d’entraînement de la crise financière mondiale a été l’émergence de la finance décentralisée (De-Fi). Les promoteurs de De-Fi ont cherché à tirer parti de la perte de confiance dans les gouvernements et les institutions financières, en particulier dans les économies avancées. Cela a vu l’émergence des crypto-monnaies, en tête d’affiche du Bitcoin, positionnées comme des instruments de paiement alternatifs. Cela s’est ensuite transformé en pièces stables et plus récemment, il y a eu une discussion croissante sur les monnaies numériques de la banque centrale (CBDC). Récemment, les crypto-monnaies se sont transformées en davantage d’instruments de gestion de patrimoine et moins d’instruments de paiement. Au milieu de ces développements sur la scène financière mondiale, est survenue la pandémie de COVID-19 qui a dominé le discours mondial au cours des dix-huit derniers mois. Contrairement à la crise financière mondiale qui était en grande partie un phénomène d’économie avancée, COVID-19 a étendu ses dégâts à travers le monde. Il a bouleversé des vies et des moyens de subsistance dans le monde et n’a littéralement laissé personne indemne. Mais au milieu de la morosité, la résilience humaine alimentée par les plateformes numériques a brillé. En Afrique, les rails numériques construits sur les téléphones mobiles nous ont bien servi, permettant des transferts officiels et personnels vers les segments les plus vulnérables de notre population, notamment les femmes, les jeunes et les micro, petites et moyennes entreprises (MPME). Nos institutions financières, gouvernements et entreprises se sont tournés vers les plateformes numériques pour s’adapter aux nouvelle normalité occasionnés par la pandémie. Dans le secteur bancaire kenyan, par exemple, les transactions en dehors des succursales bancaires sont passées de 91 % avant la pandémie à plus de 96 % actuellement. De manière significative, le nombre de transactions bancaires sur les téléphones mobiles est passé de 56 pour cent à 85 pour cent de toutes les transactions. 2 Alors que la numérisation démocratise et transforme les services financiers en n’importe quand n’importe où l’accès des clients et de nouveaux modèles économiques émergent, les régulateurs doivent s’adapter au nouveau terrain. À la Banque centrale du Kenya (CBK), notre philosophie réglementaire a évolué pour maximiser les opportunités présentées par la technologie et l’innovation tout en minimisant les risques. Cela nécessite de notre part une approche agile qui est au cœur de nos réflexions aujourd’hui. Cela m’amène à la question de savoir que signifie la réglementation agile ? Permettez-moi de souligner trois grandes orientations pour planter le décor. Premièrement, les régulateurs doivent marcher avec les innovateurs. En repensant à l’introduction des services financiers par téléphone mobile, nous, chez CBK, avons adopté une approche de test et d’apprentissage qui cherchait à comprendre les modèles commerciaux, les risques et leurs atténuants. Cette approche s’est ensuite développée à travers le monde grâce à l’approche sandbox. Les services financiers passent d’une approche fondée sur les institutions à une approche écosystémique avec les institutions réglementées en place au centre. Les fintechs agiles sont des partenaires clés des écosystèmes pour fournir des innovations de pointe telles que des solutions de notation de crédit et de gestion de la relation client basées sur l’intelligence artificielle. Les régulateurs doivent rechercher des approches innovantes pour comprendre ces fintechs, les encadrer et développer leurs capacités de gestion des risques. À cet égard, la CBK s’est associée à l’Autorité monétaire de Singapour (MAS) en 2019 pour lancer l’Afro-Asia Fintech Festival afin de créer une plate-forme collaborative pour les fintechs et les régulateurs africains et asiatiques. Sur la base de cette collaboration, deux hackathons régionaux (concours) attirant des fintechs de toute l’Afrique ont été organisés en 2019 et 2020. Ces initiatives nous ont offert des informations précieuses sur le fonctionnement de la scène fintech naissante en Afrique et continuent d’être un aperçu utile dans notre réglementation et notre supervision des écosystèmes fintech émergents. Seconde, les régulateurs doivent être attentifs aux changements de périmètre. La numérisation engendre une nouvelle génération de services qui imitent les services financiers. Bien que ces services puissent conduire à un accès amélioré pour les segments non desservis et mal desservis de notre population, ils posent des problèmes considérables de protection des consommateurs. Un exemple en est la prolifération croissante des applications de prêt numérique non réglementées (apps). 3 Ces applications ont volé en dessous du radar réglementaire, car elles ne sont pas des dépôts, le seuil traditionnel pour que les régulateurs en prennent note. Cependant, ils posent d’énormes problèmes de protection des consommateurs en raison, entre autres, des taux d’intérêt élevés, du surendettement, des pratiques de collecte contraires à l’éthique et de l’abus de données personnelles. Plus important encore, ces préoccupations se traduisent par une perte de confiance dans le système financier. C’est un sujet de préoccupation au Kenya avec le Parlement à la fin de l’examen d’un projet de loi qui habilitera la CBK à surveiller les prêteurs numériques non réglementés. Notre approche en matière de réglementation de ces entités se concentrera davantage sur les problèmes de conduite du marché par opposition aux préoccupations prudentielles traditionnelles de capital et de liquidité. Troisièmement, la coopération nationale, régionale et internationale.Avec le passage de en établissementles services financiers aux écosystèmes, les opportunités et les risques traverseront les frontières nationales et même régionales. Les régulateurs devront coordonner, coopéreret partager des informations. Un exemple en est la cybersécurité qui est de plus en plus transnationale par nature et nécessite une cercle de confiance mondial comme contre-mesure clé. D’autre part, le Les grandes technologiesétendent de plus en plus leur portée aux services financiers avec une empreinte mondiale. Les régulateurs africains devront être à la table mondiale en tant qu’architecture de gouvernance pour les Les grandes technologiesest établi compte tenu de l’importance des risques de débordement. Alors que je touche à sa fin, le renforcement des compétences des régulateurs – leurs personnes, leurs processus et leurs systèmes – sera impératif dans la nouvelle ère de la réglementation agile. J’attends donc avec impatience le déploiement du programme A.Reg4DT à travers le continent pour soutenir les régulateurs alors que la numérisation transforme la carte des services financiers. Merci! 4 Clause de non-responsabilité Banque centrale du Kenya publié ce contenu sur 22 septembre 2021 et est seul responsable des informations qu’il contient. Distribué par Public, non édité et non modifié, sur 23 septembre 2021 12:51:02 UTC. Source link
  9. Cinq avantages d’un portail client : « Le fait de mettre leurs informations financières à portée de main encourage une plus grande confiance et un plus grand soutien pour le plan financier, donnant aux clients une meilleure compréhension de la valeur fournie par le processus de conseil. » L’année 2012 a été une année de transition technique. Il a vu la production de la dernière machine à écrire construite au Royaume-Uni alors que la machine a cédé la place à la domination des ordinateurs et également le lancement du premier réseau mobile 4G de Grande-Bretagne qui a apporté des services de données à haut débit aux grandes villes d’Angleterre, d’Écosse et du Pays de Galles. Il s’agissait de la dernière diffusion télévisée analogique du pays et de l’achèvement du passage à la télévision numérique, et c’était l’année où le portail de finances personnelles d’intelliflo a été mis en ligne pour les clients. Le portail a été lancé comme un moyen simple pour les clients d’accéder à des informations détaillées sur leurs investissements et d’effectuer des transactions de base. Près de dix ans plus tard, cet objectif reste au cœur de la solution, mais la technologie a progressé et l’utilisation d’un portail client présente désormais de nombreux autres avantages, tant pour le client que pour les conseillers. Voici mes cinq premiers. 1. Partager des informations en toute sécurité L’un des principaux avantages d’un portail client a toujours été la possibilité de partager des informations avec les clients dans un format sécurisé. Les documents peuvent être partagés, signés et soumis dans le portail sans les dépenses ou le temps requis pour imprimer, poster et retourner les documents, ce qui accélère les processus administratifs et réduit vos coûts de service. Les portails améliorent également l’expérience client, en fournissant un accès à leurs données en temps réel, afin qu’ils puissent voir comment leurs finances fonctionnent quand ils le souhaitent, plutôt que de vous appeler pour une mise à jour ou d’attendre une réunion en face à face. Vous pouvez également utiliser le portail pour diffuser des informations ciblées à des individus ou à des groupes concernant des événements importants, la volatilité du marché ou des mises à jour réglementaires, démontrant votre expertise et rassuré les clients en période d’incertitude. Cela a été de plus en plus important au cours des 18 derniers mois de fermetures et de restrictions, comme en témoigne l’augmentation de 85 % du nombre d’utilisateurs du portail de finances personnelles d’intelliflo entre janvier 2020 et janvier 2021. 2. Offrir une expérience omnicanale Les portails clients peuvent également répondre aux attentes croissantes des clients en matière d’expérience numérique interactive aux côtés de conseils traditionnels en face à face et par téléphone, qui peuvent être personnalisés pour offrir une apparence cohérente avec le reste de votre marque. Les intégrations avec la fonctionnalité de co-navigation vous permettent de rencontrer des clients virtuellement et de communiquer par texte, chat, audio ou vidéo dans un environnement en ligne sécurisé. Selon Ofcom, le régulateur de la diffusion, la pandémie a accéléré l’adoption des services en ligne, avec plus de sept adultes en ligne sur 10 au Royaume-Uni passant désormais des appels vidéo au moins une fois par semaine, doublant par rapport aux chiffres d’avant le verrouillage. La tendance est encore plus perceptible chez les internautes plus âgés ; le nombre d’internautes de plus de 65 ans qui passent au moins un appel vidéo a presque triplé entre février 2020 et mai 2020. Cette plus grande acceptation des outils et de la communication numériques stimule les attentes d’une expérience omnicanale de la part des fournisseurs de services de tous les secteurs. 3. Soutenir la conformité réglementaire L’utilisation d’un portail client peut jouer un rôle important pour répondre aux exigences de conformité et réglementaires, y compris les exigences de sécurité des données du RGPD et de MiFID II. La piste d’audit automatique permet de prouver facilement la conformité réglementaire, tandis que le partage et le stockage sécurisés de documents réduisent le risque de violation de données lors de la soumission d’informations personnelles et sensibles. Au premier trimestre de 2021, le Bureau du Commissaire à l’information (ICO) a reçu 255 rapports de violations de données du secteur de la finance, des assurances et du crédit, dont 80 concernant des données envoyées par courrier électronique, faxées ou postées à la mauvaise personne, alors que quatre seulement étaient dues à un le client se voit montrer les données de quelqu’un d’autre via un portail client. 4. Fournir une vision globale des finances du client Avec la fonctionnalité Open Banking, les clients ont la possibilité de lier leurs comptes bancaires, cartes de crédit et hypothèques au portail, créant une vue complète de leurs finances personnelles en un seul endroit. Cela peut aider à gagner du temps au début de la relation en tirant les informations du compte bancaire jusqu’à la recherche des faits pour remplir automatiquement les données sur les revenus et les dépenses et soutenir la préparation des réunions avec les clients et des mises à jour avec un accès facile à des informations précises sur les flux de trésorerie et les produits. L’agrégation des données sur les flux de trésorerie à court terme et les produits non conseillés du client aux côtés du portefeuille conseillé donne une perspective plus large sur sa situation financière globale. Au cours des trois premières semaines du lancement de la fonctionnalité Open Banking au sein du portail de finances personnelles intelliflo l’année dernière, les conseillers ont identifié 20 millions de livres sterling d’actifs « retenus ». 5. Démontrer la valeur que vous ajoutez Mettre leurs informations financières à portée de main encourage une plus grande confiance et un plus grand soutien pour le plan financier, donnant aux clients une meilleure compréhension de la valeur fournie par le processus de conseil. Une étude de Vanguard auprès d’investisseurs américains l’année dernière a révélé que 41 % de la valeur perçue des conseils financiers traditionnels provenaient de facteurs émotionnels tels que la confiance, la connexion personnelle avec le conseiller et la sensibilisation proactive, tandis que 59 % étaient dus à des attributs fonctionnels comme le plan financier, surveillance continue, visibilité des changements de portefeuille et maximisation du plan de rendement des investissements. Exposer le travail que vous entreprenez pour votre client, donner accès à des informations détaillées sur leurs investissements et fournir des informations d’experts ciblées permet de mettre en évidence les aspects fonctionnels de votre service, tout en renforçant les facteurs émotionnels au sein de la relation et en démontrant la valeur de vos conseils. Les portails clients peuvent être extrêmement bénéfiques pour les sociétés de conseil offrant une méthode sécurisée de partage d’informations qui permet d’économiser du temps et de l’argent tout en respectant les exigences réglementaires. Ils permettent également aux clients d’accéder à leurs informations financières à tout moment, à partir de n’importe quel appareil, et aident les conseillers à offrir une expérience engageante aux côtés de contacts en face à face, téléphoniques et vidéo. window.fbAsyncInit = function() { FB.init({ appId : '310349726224079', cookie : true, xfbml : true, version : 'v3.1' }); FB.AppEvents.logPageView(); }; (function(d, s, id){ var js, fjs = d.getElementsByTagName(s)[0]; if (d.getElementById(id)) {return;} js = d.createElement(s); js.id = id; js.src = "https://connect.facebook.net/en_US/sdk.js"; fjs.parentNode.insertBefore(js, fjs); }(document, 'script', 'facebook-jssdk')); Source link
  10. Laurel Road : fait progresser la banque numérique avec une nouvelle application de contrôle et mobile : NEW YORK, 23 septembre 2021 /PRNewswire/ — Laurel Road, une plate-forme bancaire numérique de KeyBank proposant des offres spécialisées pour les professionnels de la santé et les entreprises, a dévoilé aujourd’hui le compte et l’application mobile Laurel Road Checking, permettant aux membres existants et nouveaux de gérer plus facilement leurs finances et d’économiser de l’argent. tout en remboursant la dette étudiante et en banque de n’importe où, n’importe quand. Six mois seulement après le lancement de Laurel Road for Doctors, une nouvelle gamme de produits financiers et bancaires adaptés aux médecins et aux dentistes, la société progresse encore plus en tant que plate-forme bancaire numérique avec le lancement de Laurel Road Checking. Cette nouvelle offre s’ajoute à la gamme existante de produits bancaires numériques de Laurel Road, qui comprend un compte Student Loan Refi & Linked Savings℠ et une carte de crédit Student Loan Cashback℠, ainsi que des options de refinancement de prêt étudiant, de prêt personnel et d’hypothèque, ce qui en fait une plate-forme complète pour toutes les solutions financières dont les professionnels de la santé et des entreprises ont besoin. Dans le cadre de ce lancement, et pour également comprendre comment les jeunes américains font de la banque, Laurel Road a récemment mené une enquête auprès de 2 000 Gen-Z et millennials. Les résultats montrent que beaucoup sont à la recherche d’un changement, car 45% des personnes interrogées ont déclaré qu’elles souhaitaient changer de banque mais ne savaient pas par où commencer et 38% ont indiqué qu’elles seraient encouragées à changer de banque parce que ils recherchent de meilleures options d’épargne. « Nous savons que la majorité des Américains, tant les professionnels de la santé que les jeunes Américains confrontés à un endettement étudiant élevé et aux carrières exigeantes, recherchent des solutions bancaires et financières qui correspondent à leur mode de vie chargé et les aident à atteindre leurs objectifs. C’est pourquoi notre nouveau compte courant et l’application mobile sont conçues pour faciliter à nos membres la gestion de leur argent, tout en aidant à développer les meilleures pratiques en matière d’épargne et de croissance de leurs finances », a déclaré Alyssa Schaefer, chef de l’expérience chez Laurel Road. « Alors que nous nous efforçons de poursuivre nos efforts pour offrir des expériences numériques exceptionnelles avec un soutien humain de haute qualité, il est important de garder à l’esprit que le parcours financier de personne ne stagne, c’est pourquoi nous avons créé des produits qui continueront de croître avec chacun de nos membres. » Pour soutenir ce désir de nouvelles expériences bancaires qui offrent également des opportunités d’épargne, Laurel Road Checking offre des remises allant jusqu’à 0,55% sur le refinancement de votre prêt étudiant avec Laurel Road lorsque vous ouvrez un compte courant Laurel Road et effectuez des dépôts directs mensuels récurrents – cela signifie atteignant des TAP variables aussi bas que 1,37%. Les personnes approuvées pour un prêt étudiant sont éligibles pour obtenir une réduction du taux de prêt étudiant en contribuant au compte courant avec des dépôts directs mensuels, en garantissant des économies importantes – et cela est réalisé en ligne dans une expérience cohérente. Les avantages supplémentaires liés à l’ouverture d’un compte Laurel Road Checking incluent : Une offre à durée limitée de 500 $ bonus en espèces lors des dépôts directs totalisant 2 500 $ ou plus dans les 60 jours suivant l’ouverture du compte. Protection contre les découverts, pas de dépôt minimum d’ouverture et pas de frais de tenue de compte Avantages World Debit Mastercard, y compris les capacités de la puce et aucun frais mensuel ou annuel Plus de 40 000 guichets automatiques dans tout le pays Les membres peuvent également accéder facilement à la nouvelle application mobile Laurel Road car elle est accessible à la fois sur iOS et Android. Il propose des fonctionnalités intéressantes, notamment un outil de recherche de guichets automatiques, le dépôt de chèques mobile, l’intégration et les transferts de listes de contacts P2P/Zelle, la gestion des paiements de factures et les options de commande de chèques. De plus, ceux qui choisissent Laurel Road comme plate-forme bancaire numérique de choix ont accès à Laurel Road Avantages!, un réseau de partenaires en pleine croissance d’offres exclusives, de remises et d’avantages pour tous les membres de Laurel Road, qui comprend des partenaires tels que P.volve, Sakara, Brooklinen, KidPass et Talkspace. Pour en savoir plus sur Laurel Road Checking, la nouvelle application mobile et les offres croissantes de services bancaires numériques de Laurel Road, visitez (laurelroad.com/checking-launch). À propos de Laurel RoadLaurel Road a commencé à octroyer des prêts étudiants en 2013 et a depuis aidé des milliers de professionnels titulaires de diplômes de premier cycle et de troisième cycle à consolider et à refinancer plus de 9 milliards de dollars en prêts scolaires fédéraux et privés. Laurel Road propose également une gamme de produits de prêt en ligne pour les études supérieures, des prêts hypothécaires et des prêts personnels qui aident à simplifier les prêts grâce à une technologie et un service personnalisés. De plus, les clients médecins et dentistes de Laurel Road ont accès à Laurel Road for Doctors, une expérience numérique sur mesure et un service spécialisé lancé en Mars 2021. Dans Avril 2019, Laurel Road a été acquise par KeyBank, l’une des plus grandes sociétés de services financiers bancaires du pays. Pour plus d’informations, visitez www.laurelroad.com. Laurel Road est une marque de KeyBank National Association proposant des produits de prêt en ligne dans les 50 États américains, Washington DC, et Porto Rico. Le produit hypothécaire n’est pas offert en Porto Rico. KeyBank est membre de la FDIC. Prêteur de logement égal. ID NMLS # 399797. À propos de KeyCorpLes racines de KeyCorp (NYSE : KEY) remontent à 190 ans à Albany, New York. Basée à Cleveland, Ohio, Key est l’une des plus grandes sociétés de services financiers bancaires du pays, avec des actifs d’environ 170,3 milliards de dollars au 31 décembre 2020. Key fournit des services de dépôt, de prêt, de gestion de trésorerie et d’investissement aux particuliers et aux entreprises dans 15 États sous le nom de KeyBank. Association nationale à travers un réseau de plus de 1 000 agences et environ 1 400 guichets automatiques. Key propose également une large gamme de produits sophistiqués de banque d’affaires et d’investissement, tels que des conseils en fusion et acquisition, de la dette et des capitaux publics et privés, des syndications et des produits dérivés aux entreprises du marché intermédiaire dans des secteurs sélectionnés à travers les États-Unis sous le nom commercial KeyBanc Capital Markets. Pour plus d’informations, visitez https://www.key.com/. Contact médias :KWT Global pour Laurel Road610-908-9874laurelroad@kwtglobal.com Affichez le contenu original pour télécharger le multimédia : https://www.prnewswire.com/news-releases/laurel-road-advances-digital-banking-with-new-checking-and-mobile-application-301383053.html SOURCE Laurel Road Source link
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